• Pour les 0,1 % de lecteurs qui ne sauraient pas ce qu'est un GRWM, c'est l'abréviation de Get Ready With Me (littéralement "se préparer avec moi").

    Dans cet article, comme vous pouvez le voir dans le titre, je vais vous montrer en quelques étapes comment créer une ambiance cinéma chez soi et ainsi passer un bon moment devant votre film.

    1° Trouver son film

    Avant de pouvoir s'installer confortablement, il faudrait peut-être d'abord trouver le film, non ? Vous pouvez toujours fouillez dans vos vieux DVD pour trouver votre bonheur et regarder un film que vous n'avez pas vu depuis environ 400 000 000 d'années, ça peut être bien d'en redécouvrir. Vous pouvez aussi aller sur un site de streaming (illégal, évidemment, parce qu'on est trop des thugs). J'aime bien aller >ici<, il y a vraiment pleins de films, bon par contre il y a de la pub.

    2° Installer la pièce

    Maintenant que vous avez trouvé votre film, il vous faut installer l'ambiance cinéma. Je vous conseille de le faire le soir, après le dîner, pour ne pas être stressé par les pensées du style "il faut encore que je fasse bla-bla-bla, la journée n'est pas finie, j'aurais jamais le temps, bla-bla-bla…" et surtout pour n'avoir qu'à vous coucher juste après votre séance (vous avez déjà mangé, fais vos devoirs, etc). Faites le de préférence lorsque le lendemain vous n'avez pas cours, pour ne pas vous coucher trop tard, d'une part, et pour ne pas avoir à vous dire "Oh, putai*, demain, il y a cours, j'ai pas envie d'avoir latin", ou des trucs du genre. (#jesaisquevousmaimezpasmadamemarquisjemenfousjevousaimepasnonplus ; #estilpossibledecréerunhashtagaussilong) Ensuite, pour réellement vous plonger dans cet univers cinoche, éteignez toutes les lumières de la pièce.

    Regardez votre film depuis votre ordinateur (ce qui est préférable), votre télévision ou encore votre tablette ! Si vous avez votre lit ou votre canapé en face de l'écran, très bien, il ne reste qu'à vous installer. Si en revanche en face de ce dernier il n'y a que le mur, don't worry ! Prenez le plus de moelleux que vous pouvez trouver : coussins et oreillers pour votre dos et votre tête, couettes sur le sol, couvertures sur vos petits genoux…

    3° Bonus pour se mettre dans l'ambiance

    Voilà, vous êtes fins prêts pour passer une soirée agréable. Seulement, il manque quelques choses… Premièrement, relaxez-vous, installez-vous confortablement, et ne laissez pas le stress vous envahir. Je sais que c'est plus facile à dire qu'à faire, mais essayez de vous concentrer sur le film, et laissez de côtés vos problèmes quotidiens.

    Dernier petit détail, personnellement, j'aime bien me préparer une tisane que je sirote pendant le film.

     

    Bonne séance !

    Ariane


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  • Ce soir, j'ai la chance d'assister au one man show Norman sur scène. C'est donc tout naturellement que j'ai eu l'idée de vous en faire une critique.

    Et comme aujourd'hui l'envie me prend de faire un article complexe et construit (ça m'arrive de temps en temps), j'aimerais vous rappeler les sens de critique.

    Sens 1 : Blâme, avis négatif, reproche ; en anglais criticism*

    Sens 2 : Qui donne un jugement, une appréciation ; en anglais critical*

    (*c'est pas pour rien qu'il y a deux mots en anglais. hé hé.)

    Avant le spectacle

    Je pars pour le théâtre dans une quarantaine de minutes. Voici ce à quoi je m'attend pendant cette soirée. Je suis peut-être dans le vrai, peut-être pas du tout, ce sont juste mes pressentiments.

    Tout d'abord, je m'attend à un truc relativement… impressionnant. Parce que des dizaines des milliers de personnes l'attendent avec impatience et parce qu'à ma grande surprise, pas le moindre indice n'a été dévoilé sur le contenu du spectacle. J'ai fais des recherches, mais les résultats sont peu convaincants. Sur Internet, dans les interviews lues dans des magazines, les rares articles qui en parle ne disent… rien. Concrètement, c'est de la langue de bois. Parler pour parler. Comme la phrase que je suis en train d'écrire. Ha ha, petite blague.

    Je m'attend à une entrée… peut-être un peu théâtrale, sous forme de sketch ?

    Franchement, je pense qu'il va parler de choses qu'il aurais aborder dans ses vidéos. J'espère que ce ne sera pas juste un enchaînement des meilleures vannes de ses vidéos ! Sinon, j'avoue que je n'ai pas d'idées… Le secret est bien gardé !

    Après le spectacle

    Comme beaucoup de comiques populaires, un autre humoriste moins célèbre viens faire sa première partie. Dans ce cas-là c'était Noman Hosni. Je n'ai pas vraiment envie de m'attarder sur ce point, même si Noman Hosni nous a fait passer un bon moment pendant ces quinze premières minutes.

    [ATTENTION SPOILE MAIS PAS TROP]

    L’excitation à son comble dans la salle, Norman s'est enfin montré. Guitare électrique à la main, batterie en complément, petite ambiance rock dans la salle. Conclusion : entrée en scène réussie.

    J'avoue que je suis assez difficile et qu'à mon sens il y a toujours un truc qui va pas. Mais là, quand je suis sortie avec une pote, tout ce qui sortait de ma bouche était : "C'était trop bien !" Autant dire que ma critique était subtile, pointue et pertinente.tongue

    Enfin bref.

    Il a, comme je m'en doutais, parlé de choses qu'il aurais très sûrement abordé dans ses vidéos. Je retiendrais également des transitions très réussies, qui donne une impression de monologue fluide. Ainsi, le spectacle se déroule sans qu'on s'en rende vraiment compte.

    Malgré tout, j'ai été un petit peu déçue par  un point. Même si environ 95% des thèmes sont inédits, quelques blagues m'ont paru un peu familières. En effet, elles sont tirées de certaines de ses vidéos.

    Après un spectacle essoufflé, il se clôture comme il a commencé : en chanson, mais de façon plus simple, plus sobre. Une chanson en guitare sèche, avec des paroles un peu touchantes et carrément humoristiques.

    Au final, un bilan totalement positif !

    Ariane


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  • → Lana Parrilla, ou Lana Maria Parrilla de son nom complet est une actrice américaine. D'un père joueur de baseball et d'une mère artiste-peintre, elle est née en 1977 à Brooklyn (état de New York).

    C'est la sœur de sa mère, qui n'est autre que Candice Azzara qui lui donne le goût de la comédie.

    Sa carrière débute lorsqu'elle obtient un petit rôle dans la série Grow Ups, après qu'elle est pris des cours de théâtre. Elle enchaîne ensuite des rôles de plus en plus importants dans plusieurs feuilletons et séries télévisées : Spin City, Boomtown, JAG, New York Police Blues, 24 heures chrono ou encore Swingtown.

    Depuis 2011, elle incarne le personnage de the Evil Queens/Regina Mills dans Once upon a time.

    → C'est justement de ce rôle que je veux vous parler dans ce premier "je vous présente mon avis sur…". Elle est, à mon sens, l'actrice qui a le meilleur jeu dans la série (sachant que l'acteur ayant le meilleur jeu serait ♥ Colin O'Donoghue ♥, interprète du rôle du Captain Hook).

    Lorsqu'on regarde la série, et qu'on est prit dans le feu de l'action, à part si les acteurs sont vraiment nuls, on ne s'interroge pas systématiquement sur le jeu des comédiens. C'est après réflexion que je me suis rendue compte que Lana Parrilla avait cette qualité de jeu dont je vous parlait précédemment. Je m'y suis donc plus penchée, et j'ai essayé de l'expliquer.

    Premièrement, dans ce rôle-ci, elle dégage une espèce d'assurance, notamment quand elle marche. Je pense donc que les réalisateurs lui ont attribué ce rôle dans l'histoire car il nécessite -une apparence- de grande confiance en soi.

    En effet, elle dégage plusieurs émotions, ou plutôt plusieurs états d'âmes (justement, nous pouvons citer ce qui est dit un peu plus haut : lorsqu'elle marche, elle dégage de l'assurance, qui n'est pas vraiment une émotion, mais qui, au niveau de la définition, se rapprocherais plus d'un état d'âme). Lorsqu'elle sourit, en fonction de l'état d'esprit de son personnage, elle arrivera à transmettre beaucoup de choses. Mais les parties de son corps qui sont le plus vecteurs de sentiments, je pense que ce sont ses yeux. Avec eux, elle arrive à faire comprendre encore plus de choses (inquiétude, joie, désespoir…)

    Ariane


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  • Dans un monde divisé en deux parties constamment en guerre, le royaume des hommes, gouverné par un roi, et la Lande, où vivent toutes sortes de créatures fantastiques, Maléfique, une jeune fée qui habite dans le second monde, le monde extraordinaire. Elle mène une vie paisible avec tous les habitants de la Lande. Fougueuse, elle survole les monts les plus hauts et surplombe toute la vallée grâce à ses grandes et puissantes ailes. C'est une jeune fille au cœur pur et aux intentions sincères. Mais un jour, lorsque qu'on lui annonce qu'il y a un voleur de pierres précieuses dans leur grotte qui regorge de ces merveilles, Maléfique, intriguée, et qui n'a jamais vu d'humains, part à sa rencontre pour qu'il rende le trésor qui appartient à son peuple. Expliquant à Stephan -car tel est le nom du voleur que cela ne se fait pas, elle jette la pierre dans la rivière. Peu à peu, il font connaissance, deviennent amis, la jeune fée lui montre les surprises de son monde à elle, elle lui laisse caresser ses ailes, car il semble les trouver extraordinaires, et durant ces quelques années, ce fut comme si la guerre entre les hommes et la Lande n'avait jamais existé.

    Elle apprend qu'il est pauvre, qu'il a perdu ses parents et qu'il vit dans la misère. Malgré cela, comme les fées se brûlent au contact du métal, Stephan décide d'enlever sa bague pour qu'il puisse toucher les mains de Maléfique. 

    Les mois passent, et Maléfique se rend compte qu'il n'a pas volé que la pierre précieuse, et que peu à peu ses sentiments changent envers lui. Pour son anniversaire de 16 ans, Stephan lui promet un baiser d'amour sincère. Il l'embrasse en effet, mais son amour n'est pas sincère.

    Les années passent et Stephan ressemble de plus en plus aux hommes : il devient cupide et assoiffé de pouvoir. Maléfique, qui est devenu la protectrice de la Lande le voit de moins en moins.

    Mais par une belle journée de printemps, des créatures de la Lande annonce à la fée que le roi veut prendre possession de leurs terres et réduire ses habitants à l'esclavage ou les éliminer. Il déclare la guerre au monde ennemi et son armée est prête à attaquer. Le peuple de la Lande se défend grâce à la force des monstres mi-humains mi-terre, grâce à la puissance du dragon, et grâce au courage de Maléfique. Dans un ultime instant de combat, lorsque les créatures fantastiques s'apprêtent à gagner la bataille, la fée protectrice s'avance vers le roi et finit quasiment de l'achever. Dans un mouvement de rage, il griffe Maléfique de ses gants de fer, qui, rappelons-le, brûle les fées. Sur son lit de mort le roi déclare que celui qui le succédera sera celui qui le vengera en tuant Maléfique.

    Un jour, Stephan réapparaît pour mettre en garde Maléfique : des humains vont venir pour la tuer. La fée est heureuse qu'il est pensée à elle et lui pardonne tous ces années d'absence. Ils passent un délicieux moment ensemble. Lorsque Maléfique s'endort, Stephan entreprend de l'assassiner, car finalement, il n'est pas différent des autres et désire aussi devenir le maître suprême du royaume.

    Stephan attrape le poignard qu'il avait soigneusement préparé mais sa main s'arrête d'elle même : il lui est impossible de la tuer. Écumant de colère et de culpabilité, il lui arrache les ailes sans pitié.

    Le lendemain matin, quand Maléfique découvre qu'elle n'a plus d'ailes, son cri de douleur déchire l'air et arrive jusqu'aux oreilles de Stephan, désormais roi.

    Maléfique erre pendant quelques minutes, quand elle entend des cris. C'est un homme, visiblement pas vraiment sain d'esprit, qui vient d'attraper un corbeau dans un filet. Il veut le battre à mort. La spectatrice de cet horrible spectacle prononce ces quelques mots : "En homme". L'oiseau se transforme alors en homme. Le fou s'enfuit en courant, laissant Maléfique et l'homme-oiseau seuls.

    Le sauvé s'écrit : "Qu'avez-vous fait ? J'étais si beau en oiseau !" La sauveuse réplique, abasourdie : "Tu aurais préféré être frappé à mort ?" Il répond, sans logique "Hmm… peut-être que oui." Seulement Maléfique lui cloue le bec "Je t'ai sauvé la vie !" Le corbeau s'excuse alors "Oh, je vois. Pardon, je m'appelle Diaval. Votre serviteur. Donnez-moi les ordres." Elle ferme la discussion en un murmure : "Mes ailes. Tu seras mes ailes."

    Un jour, Diaval annonce que la reine du roi Stephan a donné la vie à une petite fille. Maléfique se sent encore une fois trahie mais lorsque le corbeau ajoute qu'il y aura une grande fête, un grand baptême, la fée adopte pour la première fois son sourire diabolique.

    Le jours tant attendu arrive enfin, Maléfique se présente au château, vêtu d'une combinaison noire, d'une cape noire et d'une coiffe qui couvre ses cornes.

    Elle s'avance entre les invités, et se poste devant le roi Stephan. Vexée de ne pas avoir été invitée, elle balaie d'un geste de la main trois fées postée sur le berceau de la jeune princesse, Aurore, qui lui ont déjà fait un don : la grâce, la beauté, et l'émerveillement.

    Maléfique fait, elle aussi un don à la jeune fille : elle sera gracieuse, belle, et aimée de tous ceux qu'elle rencontrera mais avant le coucher du soleil de l'aube de ses 16 ans, elle se piquera le doigt à une quenouille, et en mourra.

    Le roi Stephan est au plus bas, il implore Maléfique d'annuler sa malédiction. La fée aime voir supplier, elle modifie alors son sortilège : la jeune fille ne mourra pas, mais tombera seulement dans un sommeil éternel, et ne pourra être réveillée que par un baiser d'amour sincère.

    Le roi ordonne de brûler toutes les quenouilles du royaume et de les mettre dans un grand dépotoir. Il confie ensuite sa fille aux trois fées qui étaient au baptême pour 16 ans et un jour.

    La douce jeune princesse grandit dans le bonheur et la joie. Les trois fées, qui sont des incapables, sont assistées sans qu'elles le sache par Diaval, le serviteur de Maléfique, qui a pitié d'Aurore.

    Sans qu'elle s'en rende vraiment compte, Maléfique se met à aimer Aurore, qui la prend pour sa bonne fée, pour sa marraine. Victime de ses sentiments, Maléfique laisse entendre à la princesse qu'elle pourra vivre dans la Lande avec elle et Diaval.

    Aurore a bientôt 16 ans, et elle décide d'annoncer aux trois fées qu'elle veut résider dans la Lande. Avant cela, elle s'entraîne dans la forêt et par un heureux hasard, rencontre le prince Philippe, ils ont à peine temps de faire connaissance mais des liens se forment entre eux deux. Elle rentre ensuite dans la chaumière qui lui sert de maison avec ses "tantines". Lorsqu'elle leur dit qu'elle veut vivre dans la Lande, le secret de sa naissance et de sa malédiction échappe à une des fées et Aurore leur demande des explications. Elles lui disent tout.

    Aurore s'en retourne chez Maléfique, en larmes et le cœur serré. Elle ne laisse pas le temps de s'expliquer à Maléfique, la laissant, désespérée.

    Les fées, un peu étourdies et distraites, ramènent la jeune Aurore un jour trop tôt au château. Le roi, devenu fou à force de vouloir tuer Maléfique demande qu'on l'enferme dans sa chambre pour que la malédiction de s'accomplissent pas. Seulement, la jeune fille réussit à s'enfuir et, comme somnambule, va se piquer le doigt à un fuseau qui se reconstitue de lui-même.

    Pendant ce temps, Maléfique, qui redoutait le jour où cela arriverait, ensorcelle le prince Philippe, de manière à se qu'il suive docilement la fée et Diaval, reconvertie en cheval pour l'occasion.

    Les trois fées, confuses de leur fatale erreur, essaie en vain de trouver un prince charmant. C'est alors que Maléfique, grâce à ses pouvoirs, fait revenir le prince Philippe à lui. Les trois bonnes fées lui ordonne d'embrasser sincèrement la princesse. Celui-ci, soucieux, finit par obéir.

    Par malheur, son baiser n'est pas sincère, et pour cause : ils se connaissent depuis à peine quelques heures !

    Maléfique est déçue et s'avance vers la belle aux bois dormants pour lui dire adieu et l'embrasser une dernière fois. C'est là qu'arrive le miracle et l'évidence en même temps : "Bonjour marraine" sont les premier mots d'Aurore en se réveillant. Maléfique a en effet déposé sur le front de la jeune fille un baiser d'amour sincère.

    Diaval, Maléfique et Aurore sortent de la chambre. Rien n'est surveillé car le roi Stephan et ses gardes attendent et ont préparé durant ces seize années de manière obsessionnelles, et jusqu'à en devenir fou à lier leur piège pour éliminer Maléfique.

    Lorsque Maléfique et Diaval, alors en corbeau s'engagent dans la grande salle, un immense filet de fer est lancé sur Maléfique, alors profondément brûlée, tandis que son oiseau est maîtrisé. Elle prononce alors ces quelques mots "En dragon". Diaval est alors métamorphosé en un gigantesque dragon, se débat tant bien que mal contre l'armée de Stephan, et retire en un instant le piège qui retenait Maléfique. Elle est alors libérée mais les gardes du roi sont entraînés, et ils font une incroyable manipulation, de façon à maîtriser de nouveau Diaval.

    Pendant le terrible combat qui oppose les hommes de Stephan à Maléfique et Diaval, Aurore, qui avait l'ordre de s'enfuir, prend la décision de délivrer les ailes de Maléfique, jusqu'à lors enfermées dans une vitrine par le roi Stephan. Encore vivantes, quand la princesse casse le verre qui les emprisonnent, celles-ci vont d'elles-même rejoindre leur propriétaire.

    Dans un ultime combat, Stephan et Maléfique se retrouve seuls en haut d'une tours, en plein air. La fée à l'avantage : elle le menace avec ses pouvoirs magiques mais, n'étant pas aussi cruelle qu'il paraît, elle dit : "C'est fini." et lui tourne le dos. Lâche, il l'attaque par derrière et tente le poignarder, comme 16 ans auparavant. S'en rendant compte, elle se retourne et dans un mouvement réflexe, elle le pousse et il tombe dans le vide, sa vie ayant été à tout jamais gâchée par sa cupidité et sa soif de pouvoir.

    Le conte se termine sur l'union des deux mondes par un médiateur, ou plutôt une médiatrice. Elle s'appelait Maléfique.

    Mon avis : 

    J'ai été touchée par l'histoire et époustouflée par les effets spéciaux. Ce film est plein de rebondissements et d'événements auquel on ne s'attend pas.

    Ce qui m'a particulièrement plu : je trouve que c'est une belle idée d'écrire le conte à l'envers. Je suis satisfaite car je pensais qu'il y aurait des éléments qui ne collerait pas avec la première version ; tandis que là, tout s'emboîtait parfaitement (le corbeau, le costume…)

    Ce qui m'a déçue : je ne sais pas si c'est fait exprès, mais je trouve Elle Fanning un peu cul-cul dans ce rôle.

    Ariane


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